Formation
Spécialisation d'ingénieur

Spécialisation d'ingénieur Génie de l'environnement

Associer agriculture, environnement et sciences sociales pour une gestion intégrée de l’espace rural, des ressources et des milieux naturels

Spécialisation accessible dans les formations d'ingénieur agronome, horticulture et paysage

#sociologie #écologie #durabilité #biodiversité

Développez une double expertise en sciences de l’environnement et en sciences sociales, dans un cadre international

Une formation reconnue, fondée sur une approche interdisciplinaire

Depuis plus de 30 ans, la spécialisation « Génie de l’environnement » forme des ingénieurs capables d’agir face aux défis environnementaux.
Elle s’appuie sur un réseau solide de plus de 900 diplômés, et sur une pédagogie intégrant sciences sociales, sciences appliquées et sciences de l’environnement.

Cette approche originale permet d’aborder les problématiques environnementales dans toutes leurs dimensions – scientifiques, techniques, économiques et sociales – et dans une perspective internationale.

Un parcours conçu pour répondre aux défis d’aujourd’hui et de demain

Formation pionnière à sa création, la spécialisation s’adapte en continu à l’évolution des enjeux et des débouchés.

Les ingénieurs formés sont capables de :

  • Analyser la complexité des interactions agriculture - environnement,
  • Conduire des diagnostics territoriaux et environnementaux,
  • Concevoir et mettre en œuvre des projets d’aménagement durable,
  • Dialoguer avec les acteurs socio-économiques et institutionnels,
  • Innover en ingénierie environnementale, écotechnologies et systèmes de production durables.

Une ouverture internationale

La formation accueille des étudiants internationaux dans le cadre de deux masters :

Elle constitue un espace d’échanges de savoirs, de cultures et de pratiques, propice à une construction pluridisciplinaire en contexte globalisé.

Trois options pour construire un parcours personnalisé

  • Agriculture durable et développement territorial (ADT)
  • Gestion et protection des sols (GPS)
  • Préservation, aménagement des milieux et écologie quantitative (PAMEQ)

Public étudiant français

Formation initiale

  • Spécialisation ouverte de droit aux élèves-ingénieur·es de l’Institut Agro Rennes-Angers ayant choisi le cursus de pré-spécialisation préparant à cette spécialité en S8 et ayant validé leur M1 en formation à temps plein
     
  • Spécialisation accessible à temps plein aux étudiant·es des autres établissements d’enseignement supérieur agricole (sous réserve d’acceptation du dossier). Ces étudiant·es recevront en fin de cursus un relevé de notes / crédits ECTS à remettre à leur école d’origine pour l’obtention de leur diplôme.
     

Public étudiant international

  • Spécialisation accessible via le concours DE suite à leur admission en M1 à temps plein dans le cursus d’ingénieur agronome, d’ingénieur en alimentation, d’ingénieur en horticulture ou d’ingénieur en paysage
     
  • Spécialisation ouverte en semestre d’échange pour les étudiant·es originaires d’un établissement partenaire de l’école. À l’issue de leur mobilité, les étudiant·es reçoivent un relevé de notes / crédits ECTS à remettre à leur université d’origine pour l’obtention de leur diplôme.

Trois semestres pour se spécialiser

Chaque semestre correspond à l'acquisition de 30 crédits ECTS. Il est composé d'unités d'enseignement (UE) qui sont constituées d'unités constitutives (UC).

Une pédagogie diversifiée

L’enseignement comporte des cours, des conférences, des travaux dirigés en salle et sur le terrain et des projets. L'aménagement de l'emploi du temps dégage du temps destiné à des travaux personnels, des exposés, des  synthèses bibliographiques et des projets d'ingénieurs.

Détails des enseignements en M1

L’enseignement du S8 est centré sur les outils et les méthodes. Il comporte 3 unités d’enseignement (UE) communes à toutes les spécialisations d'ingénieur et 5 UE spécifiques à la spécialisation « Génie de l’Environnement ».

UE Tronc commun - 4 ECTS

  • UC Management et entrepreneuriat
  • UC Notion de risque - Évaluation, gestion, prévention
  • UC Analyse des données

UE Projet spécifique de spécialisation - 4 ECTS

  • UC Conduite de projet innovant 

UE Langues étrangères - 3 ECTS

  • LV 1 : Anglais (2h/semaine)
  • LV 2 : Allemand, espagnol, italien, autre (2h/semaine)
  • LV 3 (facultative) : Allemand, espagnol, italien

UE de spécialisation (dont 2 au choix)

  • UE Diversité et évolution du vivant
  • UE Écotechnologie
  • UE L’environnement vu par les sciences sociales
  • UE Agroécologie ou UE Du terrain au SIG : analyse spatiale des milieux et des paysages
  • UE Milieux aquatiques ou UE Modélisation du bilan hydrique dans le continuum sol-plante-atmosphère

Détail des enseignements en M2

Le projet de spécialisation dans le cadre de l’unité d'enseignement (UE) « Analyse et prospective environnementale » constitue l’axe structurant de la formation en génie de l'environnement. Á travers une étude de cas territoriale, une situation concrète en partenariat avec les acteurs du territoire concerné, ce projet aborde la dimension interdisciplinaire des enjeux environnementaux. Il vise à appréhender concrètement des territoires en transition et à développer des approches intégrant sciences sociales et approches scientifiques et techniques dans les principaux domaines couverts par les 2 options.

Cette UE a pour objectif de :

  • permettre aux étudiants des 3 options d’accéder ensemble à une problématisation interdisciplinaire d’une question environnementale complexe
  • permettre l’acquisition et la maîtrise des outils d’ingénierie pour le traitement et l’interprétation des données propres aux disciplines de chaque option
  • d’aborder l’aspect théorique à travers des cours et des TD dispensés au fil de l’UE.

Elle est constituée de 4 unités constitutives (UC) :

  • UC Ecole de terrain : Projet interdisciplinaire
  • UC Collecte et traitement de données environnementales
  • UC Revue de presse

Plusieurs phases de terrain réparties sur l’année visent à la mise en pratique de ces outils, et à la collecte de données qui sont ensuite traitées sous des angles plus spécifiques à chaque option. Le cas d’étude favorise le choix d’une méthodologie adaptée au problème à traiter. Tout au long de ces activités, notamment au cours du stage terrain, l’accent est mis sur la prise d’autonomie des étudiants et sur la pluridisciplinarité. 

L’option ADT, qui constitue également le semestre 9 des Masters 2 TEAM Actors et IMRD, a pour objectif de former des étudiants capables d’accompagner l’innovation et la transition vers des modèles agricoles durables et capables de répondre à la fois aux défis alimentaires de demain et aux attentes sociétales, exprimées en termes économique, environnemental et social. Elle vise l’acquisition d’un double jeu de compétences, en mobilisant très fortement les sciences sociales (sociologie, sciences politiques, économie institutionnaliste, géographie sociale) et des connaissances relatives aux systèmes agricoles et alimentaires durables, à l’accompagnement de dynamiques d’innovation et de changement, à l’ingénierie de projets complexes, à l’ingénierie de la gouvernance et du développement territorial.
Après un module introductif portant sur les enjeux sociaux et politiques des grandes transitions, trois champs thématiques sont abordés : les systèmes de production agricole et alimentaire durables, la gestion multi-acteurs du développement territorial, puis des compétences génériques en sciences sociales dans les domaines de l’animation et du développement (compétence projets, accompagnement au changement technique, démarche scientifique en sciences sociales).
L’option s’appuie très significativement sur des mises en situations de commande favorables à la prise d’autonomie professionnelle des étudiants Les rencontres avec les professionnels sont privilégiées, tant durant les situations d’enseignement que durant les projets et travaux de terrain.
Le champ géographique des enseignements et des exemples traités est international, avec une ouverture vers les pays du Sud.
Cette option accueillant en outre des étudiants du Master International en Développement Rural, les enseignements et mises en situation se font essentiellement en anglais. Les étudiants francophones doivent avoir un niveau d’anglais suffisant (équivalent B2) pour comprendre la partie des cours proposée en anglais, et pour pouvoir participer aux travaux et projets collectifs bilingues avec les étudiants anglophones.

Détail des unités d'enseignement (UE) et unités constitutives (UC) de l’option ADT

UE 1 - Accompagner la transition vers des systèmes agri-alimentaires durable : agro-écologie, reterritorialisation des filières, justice sociale et alimentaire ; gouvernance
UC 1.1. Systèmes alimentaires 
UC 1.2. Modèles professionnels et politiques agricoles
UC 1.3. Approches multi-critères de la durabilité des systèmes de production
UC 1.4. Approche systémique "One Health"

UE 2 - Transition, acteurs et gouvernance des communs environnementaux
UC 2.1. Acteurs et gouvernance des biens communs environnementaux
UC 2.2. Perceptions de la Nature du Nord au Sud. Anthropologie, droit, économie
UC 2.3. L'action publique locale au prisme des transitions socio-économiques et environnementales
UC 2.4. Conseil en agriculture - Nord et Sud

UE 3 - Démarches et méthodes en SHS
UC 3.1. Collecter et analyser des données sociologiques
UC 3.2. Concertation territoriale autour des ressources et biens d'environnement

UE 4 - Démarches de projet 
UC 4.1. Conception et monitoring du projet complexe
UC 4.2. Projet et enquête de terrain en SHS

Cette option résulte d’un projet porté par les enseignants-chercheurs en sciences du sol de l’Institut Agro Rennes-Angers, et de l'Institut Agro Dijon.
Le bilan de compétences réalisé auprès d’un panel de professionnel (bureau d’étude, collectivités territoriales, instituts techniques, …) a permis de créer un référentiel de compétences qui a structuré la construction de cette nouvelle option.

Cette option a pour objectif de former des étudiants capables de développer :

  • une approche systémique des problématiques environnementales dans les territoires 
  • une expertise sur la ressource en sol alors que ces compétences sont rares sur le marché de l’emploi.

Ces compétences permettront de répondre aux besoins urgents de nos sociétés afin de relever le défi d’une protection et d’une gestion durable des sols agricoles, artificialisés et naturels. La mise en place de la directive cadre européenne sur la santé des sols va faire émerger un vivier d’emplois sur la gestion de cette ressource fragile et peu connue.

L’équipe pédagogique a pour objectif de mettre les étudiants en situation d’apprentissage par le terrain en mobilisant des techniques innovantes (proxydétection, méthodes low tech, …); d’aborder la protection et la remédiation des sols dans des contextes variés en tirant partie des spécificités des contexte pédoclimatiques et systèmes de culture variés des quatre écoles (viticulture, polyculture, maraichage) ; de lutter contre la dégradation des sols (salinisation, contaminants émergents, érosion, …) et de restaurer les milieux naturels (restauration des zones humides, mutualisé PAM-EQ). 

Les politiques publiques seront abordées en mutualisant deux UC avec l’option ADT. Le « ZAN, Zéro Artificialisation Nette » et sa mise en œuvre dans un territoire seront étudiés par des rencontres avec les élus d’une communauté de commune. Le concept de santé unique ou « One health » sera étudié dans le cadre de la mise en œuvre d’un Plan Alimentaire Territorial. Les projets, menés sous forme d’étude de cas, s’appuient sur des mises en situation à des échelles territoriales et vise à construire des scénarios de gestion concertés avec les acteurs de terrain par des ateliers de co-conception (par exemple pour le stockage du carbone dans les territoires).

Les étudiants se rendront une semaine à Angers pour aborder la gestion durable des sols urbains et périurbains.  Deux semaines sont programmées fin janvier à Dijon pour aborder la microbiologie des sols et découvrir les sols dans un autre contexte pédoclimatique en viticulture.

Détail des unités d'enseignement (UE) et des enseignements constitutifs (EC) de l'option

UE 1 : Fonctionnement et diversité des sols dans les paysages 
EC 1.1 Fonctionnement des sols
EC 1.2 Ecole de terrain

UE 2 :  Trajectoires d'évolution des sols dans les territoires en transition
EC 2.1 Trajectoire de la transition dans les territoires
EC 2.2 Cartographie et surveillance des sols
EC 2.3 Scénarii d'évolution du stockage de carbone dans les territoires

UE 3 : Evaluation de la santé des sols
EC 3.1 Gestion de la qualité des sols par des intrants
EC 3.2 Agroecological levers of soil quality management
EC 3.3 Atelier microbiologie des sols

UE 4 :  Préservation et restauration des sols
EC 4.1 Restauration des zones humides
EC 4.2 Evaluation et remédiation de la dégradation des sols
EC 4.3 Gestion durable des sols urbains et périurbains

UE 5 : Les sols dans les politiques publiques et la planification territoriale 
EC 5.1 L'action publique locale (Zéro artificialisation nette)
EC 5.2 Approche systémique "One Health"

L’option PAMEQ a pour objectif de former des ingénieurs agronomes sensibilisés via le tronc commun aux problèmes d’environnement en général, et développant plus particulièrement au cours de l’option, des compétences écologiques applicables à la préservation, l’aménagement et à la gestion des différentes composantes de l’espace rural.

Le contexte professionnel est celui de la mise en œuvre des politiques publiques d’aménagement et de gestion de l’espace rural qui exigent de la prise en compte explicite de la biodiversité. Ces politiques, traditionnellement dirigées vers la protection d’espèces ou d’espaces (loi dite de protection de la nature de 1976) ont récemment évolué (années 2000) vers des objectifs de gestion agro-écologique globale des territoires. Elles ont alors pour but de maintenir la fonctionnalité des systèmes écologiques et les « services associés » (Mesures agri-environnementales, Directive Habitat Faune Flore (Natura 2000), Grenelle de l’environnement (TVB, Schémas régionaux de cohérence écologique, compensation écologique), loi-cadre biodiversité, Directive Cadre sur l’Eau, Règlement européen sur les espèces exotiques envahissantes …). La construction et la mise en œuvre de ces politiques nécessite de comprendre et de gérer différemment les interactions entre biodiversité et activités humaines. Un nouveau questionnement fondamental se fait jour : de quoi la biodiversité est-elle le nom ? Pourquoi, comment, où, avec qui, et avec quel équilibre entre science, éthique et politique “prendre soin d’elle” ?

C’est à ces nouveaux métiers, à l’interface Nature / Culture, biodiversité /agriculture, que nous nous proposons de former nos étudiants.
 
Détail des unités d'enseignement (UE) et des enseignements constitutifs (EC) de l'option

UE1 : Acteurs, métiers et problématiques de l’aménagement et de la gestion écologique
EC 1.1 Analyse écologique d’un territoire
EC 1.2 Rencontre d’acteurs sur le terrain

UE2 : Transition dans les territoires
EC 2.1 Trajectoire de la transition dans les territoires

UE 3 : Théories et représentations de la biodiversité
EC 3.1 Théories écologiques et mesures de la biodiversité
EC3.2 Représentations de la biodiversité

UE 4 : Ecologie appliquée à l’aménagement et à la gestion
EC 4.1 Restauration des zones humides
EC 4.2 Ecologie appliquée à l’aménagement rural et urbain

UE 5 : Outils et analyse de données
EC 5.1 Analyse de données écologiques

UE 6 : Animation et médiation scientifique
EC 6.1 Communication poster scientifique

UE 7 : Projet d’ingénieur

La formation se termine par un stage de  fin d'études (S10) qui se déroule en milieu professionnel durant 6 mois au moins de mi-février à début septembre (24 semaines minimum). Ce stage donne lieu à la rédaction d'un mémoire de fin d'études soutenu à l'oral devant un jury au mois de septembre.

Types de structure d'accueil et thèmes d'études possibles

 

  • Application et test à l’échelle nationale d’un outil de représentation des connectivités hydrologiques des parcelles (BV Service) pour l’aménagement des petits bassins versants ruraux en vue de préserver la qualité - UMR LISAH
  • Étude des freins et des leviers à la mise en place de mesures anti-érosives dans des parcelles cultivées- SAGE Couesnon
  • Mise au point d'une noue de rétention-stockage-filtration pour le traitement et rétention des eaux pluviales urbaines - SETUR (Bureau d’étude)
  • Restauration de la continuité écologique des rivières Lézarde et Saint Laurent (76) - SCE Eau (bureau d’étude)
  • Impact du changement climatique sur les ressources en eaux vertes du sahel agropastoral : Modélisation de deux écosystèmes (semi naturel et cultivé) - CNRS, Montpellier
  • Évaluation et cartographie des services écosystémiques des sols - UMR SAS
  • Évaluation de la fonctionnalité des corridors écologiques par une approche multi-taxons (Hérissons, papillons de nuit et oiseaux) dans le bassin minier de Lens - CPIE Chaîne des Terrils
  • Amélioration des méthodes d'identification de la Trame Verte et Bleue - Bureau d’étude « Impact et Environnement »
  • Influence de la qualité des prairies dans le contexte paysager sur la prédation des insectes nuisibles aux cultures - UMR IGEPP
  • Contribution à l'élaboration de la stratégie de conservation des messicoles dans le Département de l'Eure - Conseil départemental de l'Eure
  • Évaluation du mode de gestion des cordons dunaires domaniaux selon la méthode du "Contrôle souple" au regard des attentes liées à la multifonctionnalité exigée - Office National des Forêts
  • Étude des réseaux semenciers dans des agrosystèmes sahéliens IMRD Relocalisation alimentaire dans les Hautes-Alpes : évaluation à partir de la lecture agro-écologique - ADEAR 05
  • Conflits locaux en élevage porcin : jeux d'acteurs, déterminants et enjeux pour la filière et la démocratie de proximité - Chambre Régionale d'Agriculture de Bretagne
  • Structuration et mise en place de l’approvisionnement de la restauration collective scolaire en produits biologiques locaux : Du diagnostic à la concertation sur le Pays de Pontivy - Groupement des Agriculteurs Biologiques du Morbihan

Des métiers qui ont du sens

Des territoires en transition : de nouveaux enjeux sociaux et environnementaux

Le changement climatique, la préservation de la biodiversité et la protection des ressources naturelles vitales telles que l’eau, l’air et les sols, constituent des enjeux environnementaux complexes dans un contexte sociétal marqué par des bouleversements politiques et économiques liés à la globalisation des échanges, l’augmentation des besoins alimentaires d’une population mondiale croissante et l’accentuation des inégalités d’accès aux ressources. Ces enjeux environnementaux et sociétaux marquent les premières décennies du 21e siècle. 

Analyse d'un sol

De nouveaux métiers

Plusieurs nouveaux thèmes et viviers de recrutement sont identifiés dans ce nouveau contexte pour les ingénieurs agronomes spécialisés en environnement : surveillance des milieux, trame verte et bleue, mesures compensatoires, évaluation des services écosystémiques, évolutions territoriales vers des modèles agro-écologiques, systèmes alimentaires territorialisés, projets alimentaires urbains intégrés, habitat /urbanisme, gestion de l’eau et du littoral, santé et environnement, gestion territoriale des déchets et des énergies renouvelables. 

Le contexte professionnel induit par ces grands changements est donc celui d’une transition vers une gestion collaborative et concertée des territoires et de leurs ressources, qui mobilise des acteurs plus nombreux et variés qu’auparavant : agriculteurs et leurs organisations, collectivités locales, services de l’Etat, institutions publiques territoriales, mais aussi société civile, nouveaux acteurs de l’économie sociale et solidaire, et entreprises dans les secteurs du conseil et de la recherche

Les métiers d’appui à l’action publique autour de la gestion concertée et intégrée de ces biens communs environnementaux se développent en particulier à travers la sous-traitance et la prestation de services dans les domaines du conseil, de l’expertise, de l’aide à la décision et de l’animation.

Chiffres clés

1800étudiants, dont 70% d'étudiantes

30%de boursiers

13000Alumni

450diplômés par an

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