Formation
Spécialisation d'ingénieur

Spécialisation Protection des plantes et environnement

Protéger les cultures avec des méthodes innovantes, efficaces et durables

Spécialisation accessible dans la formation d'ingénieur agronome et d'ingénieur en horticulture

#diagnostic #bio-agresseur #recherche #développement

Innover pour protéger les cultures

Seule formation de niveau M2 en France entièrement dédiée à la protection des cultures, cette spécialisation offre aux étudiant·es les bases scientifiques et les outils nécessaires pour analyser les problématiques de protection au sein des agrosystèmes, concevoir des méthodes innovantes et durables, et anticiper leurs impacts économiques, environnementaux et sanitaires.

Deux options sont proposées : générale et horticulture. Les étudiant·es acquièrent la capacité à :

  • Identifier la diversité des bioagresseurs et leurs stratégies parasitaires.
  • Choisir et utiliser les méthodes de diagnostic adaptées.
  • Comprendre les interactions plantes-environnement (bioagresseurs, microbiote, ennemis naturels…).
  • Modéliser les épidémies et estimer les pertes associées.
  • Évaluer les risques phytosanitaires liés aux bioagresseurs et aux méthodes de protection.
  • Développer des solutions de protection efficaces et durables.

Public étudiant français

Formation initiale

  • Spécialisation ouverte de droit aux élèves-ingénieur·es de l’Institut Agro Rennes-Angers ayant validé leur M1 en formation à temps plein ou par apprentissage
     
  • Spécialisation accessible à temps plein aux étudiant·es des autres établissements d’enseignement supérieur agricole (sous réserve d’acceptation du dossier). Ces étudiant·es recevront en fin de cursus un relevé de notes / crédits ECTS à remettre à leur école d’origine pour l’obtention de leur diplôme.

Formation continue

Public étudiant international

  • Spécialisation accessible via le concours DE suite à leur admission en M1 à temps plein dans le cursus d’ingénieur agronome, d’ingénieur en alimentation, d’ingénieur agronome ou d’ingénieur en horticulture
     
  • Spécialisation ouverte en semestre d’échange pour les étudiant·es originaires d’un établissement partenaire de l’école. À l’issue de leur mobilité, les étudiant·es reçoivent un relevé de notes / crédits ECTS à remettre à leur université d’origine pour l’obtention de leur diplôme.

Trois semestres pour se spécialiser

Chaque semestre correspond à l'acquisition de 30 crédits ECTS. Il est composé d'unités d'enseignement (UE) qui sont constituées d'unités constitutives (UC).

Détail des enseignements en M1

Le semestre 8 est composé de 5 unités d’enseignement (UE) :

UE 1 • Modélisation des systèmes biologiques

UE 2 • Agroécologie

UE 3 • Diversité et évolution du vivant

UE 4 • Diagnostic agronomique et santé des plantes

1 UE au choix

Détail des enseignements en M2

Le semestre 9 est composé de 8 unités d’enseignement (UE) communes
aux 2 options PPE-Général et PPE-Horticulture :

UE 1 • Diagnostic & Taxonomie en protection des plantes

UE 2 • De la biologie des populations à l’analyse des risques en protection des plantes

UE 3 • Méthodes de la Protection Intégrée

UE 4 • Gestion agroécologique en protection des plantes

UE 5 • Politiques publiques environnementales, réglementations et protection des plantes

UE 6 • Analyse des données

UE 7 • Projet personnel et professionnel

UE 8 • Projet d’ingénieur

Le semestre 10 est dédié au stage de fin d’études, de mi-mars à mi-septembre.

Une insertion professionnelle solide

Formés à l’analyse des bioagresseurs et au développement de méthodes de protection innovantes et durables, les jeunes diplômé·es trouvent rapidement leur place sur le marché du travail. Six mois après l’obtention du diplôme, 95 % sont en emploi, dont 14 % poursuivant en doctorat, avec un salaire annuel moyen de 29 k€.

Des métiers et des secteurs variés

  • Ingénieur·e R&D, technico-commercial, ingénieur·e qualité, chargé·e de clientèle, responsable homologation phytosanitaire ou biocontrôle dans le secteur industriel (phytosanitaire et biocontrôle)
  • Ingénieur·e en expérimentation, chargé·e de mission, chargé·e d’étude protection des plantes, animatrice ou animateur Eco-phyto, conseillère ou conseiller agricole spécialisé, responsable filière, responsable qualité en appui aux filières de production (chambres d’Agriculture, Instituts techniques)
  • Conseillère ou conseiller technique protection des plantes, chargé·e de mission, chargé·e d’étude homologation, évaluatrice ou évaluateur scientifique dans les institutions publiques et parapubliques (ANSES, chambres d’agriculture...)
  • Ingénieur·e développement durable, chargé·e de mission environnement, chargé·e de mission développement durable, responsable parcs et jardins dans les collectivités locales
  • Ingénieur·e d’étude, ingénieur·e de recherche, doctorat dans la recherche publique (INRAE, CIRAD, universités, écoles d’ingénieurs)

 

Chiffres clés

1800étudiants, dont 70% d'étudiantes

30%de boursiers

13000Alumni

450diplômés par an

À la une